Gratuit

18h30 : Pour les cyclistes, rendez-vous devant le Manoir

20h00 : Ouverture des portes

20h30 : Film

02h00 : Fermeture des portes

Annulé

La Petite ReineCA

Le Cyclociné est une combinaison de deux plaisirs : vélo et film. Un concept né sous l’impulsion de Tara qui nous guidera sur le bitume valaisan, le temps d’une ballade collective d’une petite heure suivie de la projection d’un film lié à la petite reine. L’évènement est ouvert à tous, non cyclistes ou cyclistes. Pour les premiers : on vous donnera envie ! pour les seconds : gardez vos bib-short, vous ne serez que mieux assis !

En cas de mauvais temps nous nous concentrerons sur la projection du film.

18h30 : Pour les cyclistes, rendez-vous devant le Manoir

20h00 : Ouverture des portes

20h30 : Film

02h00 : Fermeture des portes

La Petite ReineCA
Drame sportif

La Petite Reine – Drame sportif de Alexis Durand-Brault (Canada, 2014)
Avec Laurence Leboeuf, Patrice Robitaille, Sébastien Delorme

La petite reine est la chronique d’un mensonge collectif qui se rapproche davantage d’une descente aux enfers que d’un conte de fée. Une ballade dramatique sur deux roues inspirée par la carrière de la cycliste Geneviève Jeanson, dont le trône a chaviré…

Julie est une cycliste à gros braquet qui brille et dont l’avenir semble radieux. Son talent se voit peu à peu voilé par une ambition gavée à l’EPO qui trouve écho dans l’insistance sordide de son entraîneur, dans le fanatisme funeste de son père et la fierté teintée de doute de sa mère Suzanne. Et lorsque les soupçons s’accumulent comme de sombres nuages qui menacent, ses jours et ses nuits ne sont plus que solitude, vulnérabilité et larmes, alors que sa santé physique déraille complètement. Une sportive devenue une machine à cash, à l’insu du plein gré d’un entourage tristement complice.

Selon Durand Brault, le film trouve son sens dans le mensonge. Non pas individuel, mais collectif. « C’est un film sur le mensonge que nous voulons bien tous nous raconter, dit-il. À l’époque où je regardais courir Jeanson, je trouvais qu’elle avait du chien, qu’elle était bonne. Nous la trouvions tous extraordinaire, mais à un moment donné, on se demande si nous ne nous sommes pas tous menti, tous raconté une histoire parce qu’on ne voulait pas que la petite princesse du Québec, aux yeux si charmants, au regard si franc, soit dopée »